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Le combat des fils de Caïn |
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Tu fondras comme l’éclair sur tous les peuples qui t’agressent. Tes yeux seront sans pitié pour eux. Un article de François Célier. |
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Cet article a fait l’objet d’une version
« Audio » enregistrée le 6 septembre 2011 par François Célier.
http://www.libertyvox.com/files/Francois_celier_Le_combat_des_fils_de_Cain_LibertyVox_110906.mp3
Texte de l’enregistrement.
Conscient du peu de probabilité d’être lu par les Autorités
Politiques de l’Union Européenne auxquelles je m’adresse, l’écho de cette missive
peut néanmoins susciter quelque intérêt auprès de
ceux qui vont la filtrer au passage d’Internet, puis la ranger dans le coffre à
oubli des citoyennetés d’en bas dont je suis.
Caïn, fut le premier criminel de l’espèce humaine ayant conscience du
bien et du mal. Après lui, au cours des millénaires et des civilisations
successives, sa postérité se répandra jusqu’à nos jours. Il est remarquable
d’observer que toutes nos aléatoires mutations historiques d’Empires, de
Royaumes et de Nations demeurent profilées en type pyramidal, selon le schéma
initial de ce premier meurtre matriciel. De lui seul déclineront toute exemplarité,
puissance et modus vivendi par transmission psychogénétique, par mimétisme naturel
et par diffusion didactique sur des peuples assujettis. Le Pouvoir d’autonomie
politique, plus ou moins clérical dans l’ombre des clochers, temples ou
mosquées, représentera une constante de l’Autorité dominante sur toute croyance
relevant de l’attrait fétichiste idéologico-religieux du genre humain.
Peur sous-jacente de mourir idiot. Chaque génération engendrera des
hommes éclairés par la lumière de la connaissance, bien que celle-ci comportât une
face obscure, pour lutter contre le pouvoir des politiques. Ce dernier est
fondé sur la violence criminelle, la ruse des traqueurs de tout opposant et le
secret désir de revenir vers des antériorités primitives archaïques et omnipuissantes.
De jure et de facto sera la contingence d’une lutte sans fin, se déroulant entre
le bien et le mal, entre l’éthique de la vie et la culture de la mort, telle celle
des islamikazes actuels.
En observant les domaines d’influences négatives et conflictuelles qui
font trembler la peau du monde, cette lutte est foncièrement récurrente,
quel que soit le degré de civilisation atteint. Si philosophiquement éclairé paraisse-t-il,
seul un très faible pourcentage de personnes inclinent à se ranger loyalement sous
la bannière du bien de son prochain. Métaphysiquement. Autrement dit, conscient
d’être sous le regard de l’Eternel et d’agir au mieux de l’entendement de la
Parole qu’il adresse patiemment aux hommes, par la torah et les évangiles. Par
contre, un pourcentage infiniment élevé d’individus auto-suffisants, arrogants,
verbeux ou vociférant, se vouent à la violence d’un pouvoir mortel, tels les
amants d’un mal humain qui les ronge. Pris en sandwich entre ces deux rapports disproportionnés,
d’innombrables pleutres et passifs sont terrés en eux-mêmes. Quand bien même
s’estimeraient-ils gens de bien, leur lâcheté à ne rien dire de la criminalité
qui les environnent font leur indignité. A l’étalon de mesure biblique, ils se
mettent hors-la-foi et l’espérance, minés par le ressentiment et la jalousie qu’ils
manifestent, à l’encontre notamment d’Israël. Par exemple, en optant pour
un pseudo peuple palestinien inventé de toute pièce par les services du colonel
Nasser et par le KGB des années de 1960. Leur adhésion à cette énorme escroquerie
intellectuelle et politique les conduit à se ranger sous la bannière de la
désinformation, par amour du mensonge qui les habite. Ils savent fort bien que
les juifs, dont Jésus demeure l’excellence, sont les témoins gênants de
l’existence de l’Eternel. Dès lors, ils se rangent, irrationnellement, comme
étant de la postérité de Caïn. Celle-ci
représente l’engeance majoritaire qui gangstérise le développement des sociétés
contemporaines, gangrène et piétine sans vergogne toutes les pages historiques et
géopolitiques valeureuses.
La première déficience
de notre espèce provient du crime primordial (typologie de Caïn) ; la
seconde, celle de l’appât du gain des couleurs de l’argent de Mammon qui le distribue
aux cupides ; la troisième concerne le désir de corrompre tout ce qui est juste
et méritoire ; la quatrième est le goût du secret et des manigances tissées à
nœuds serrées. Ayant
rejeté l’Eternel du haut des cathédrales de l’orgueil, des mosquées aux doctrines
gothiques et des buildings contemporains crevant le ciel symboliques de Babel, d’arrogants
bonimenteurs cathodiques Babéliens distillent des menteries à leurs audimats
chloroformées. En fait, victimes innocentes ou complices, tous ont opté pour
une autre paternité : celle du Malin, alias le Diable. Occultant sa nature
meurtrière ; sachant qu’il ne peut supporter un iota de vérité, sa
personnalité leur paraît appropriée à leurs appétences. Ainsi, sachant que le
Malin profère le mensonge par sa seule respiration d’être, ses féaux ne sont pas
sans ignorer qu’IL parle de sa propre essence. Au fond des consciences génétiquement
altérées, personne n’ignore désormais qu’il est le Père du mensonge. Bref, il plaît
au plus grand nombre. Par ce choix volontaire, ce joueur de flûte les oriente
vers le monde de l’obscur. (2) Jean 8, 44
L’autonomie et la puissance du Pouvoir politique apparaissent prédominées
par le crime. Très tôt, l’Eternel Créateur, qualifia Rois, Chefs
d’Etats, Potentats et Tyrans de : Criminels ! Depuis lors, justifiant
cet attribut tranchant, d’innombrables témoins s’empressent d’agir, à l’exemple
d’Autorités criminelles comme modèles référentiels. Sans vergogne, ils dénaturent
toute justice reposant sur le Droit naturel de la vie, jusqu’à parvenir à l’inverser :
crimes rituels archaïques ; crimes de raison d’Etat (collatéralisés
et cautionnés par des décrets et artifices spécieux) ; crimes d’honneur et
d’horreur à l’encontre des femmes ; crimes de foi mystique (dédouanés par l’Eglise
moyenâgeuse ou le Coran mahométan) ; crimes conceptuels d’intellectuels schizophrènes
par livres rouges ou verts-croissants d’idéologies sanguinaires. Ils en fut toujours ainsi pour les
adeptes de croyances aux dominations de dieux mythologiques ou de dieux vivants.
Mages et Mystères, Pharaons et Califes, Führers imprécateurs et dictateurs tyrannosaures.
Une
mondialisation politico-économique de la planète s’ordonnance sous nos yeux. Bien
qu’ils soient rarement entendus, il y eut toujours des hommes vigilants et patriotes
pour dénoncer la mise en pièces des anciennes nationalités et identités
culturelles. Ils nous alarment sur cette planétisation forcée de populations vouées
à la soumission d’un homme fort qui apparaîtra tantôt, selon les Ecritures
bibliques ou coraniques (Califat mondial). Ils discernent les manœuvres
d’universalisation matérialiste, technologique, culturelle et politique (ou de
jihad totalitaire), consistant à faire céder tout barrage de protection
frontalière et identitaire, par dislocation et néantisation des sociétés traditionnelles,
faisant passer ce grand œuvre d’homogénéisation pour une nécessité évolutionniste.
Par ailleurs, dévoués à cette tache grandiose, les agents du mal
sont légions. Sur toutes les contrées et villes qui aspirent à s’édifier
en sociétés humanistes, par des agissements criminels, elles influencent les fonctionnaires
corrupteurs en place et s’emparent progressivement de tous les leviers de
commandes. Stratèges politiciens, propagandistes et mafieux en connivence, ils
planifient leur volonté dominatrice en l’instaurant par le puissant levier de la
peur dans les consciences citoyennes craintives ou affaiblies. Le marketing d’idéologie
consumériste ou technicienne des après-nous le déluge (ou islamiste des
sans-fou-la-mort), orchestré par les médias et leurs politiques de couards, amènent
les peuples à se combattre sans nécessité ni espace vital à conquérir. C’est pourquoi
il est primordial de livrer combat contre le Malin, cet invisible Janus et son
double, le maître du mensonge. C’est pourquoi il est urgent de le débusquer des
cercles politiques les plus corrompus, de les assigner au tribunal de la
conscience publique internationale.
Nul n’est à
l’abri de ces légions. David, le berger qui devint un roi exemplaire, agréé de
l’Eternel, vit cet esprit criminel œuvrer en lui-même... L’esprit criminel
de Caïn s’étant emparé de sa conscience (désactivée par le désir de la femme
d’un de ses officiers) l’entraîna à commettre un acte meurtrier. En dépit de son
réel et profond repentir, son châtiment fut terrible, jusqu’à vouloir s’ôter la
vie. Il ne fut gracié qu’in extremis. Indépendamment des langues boiteuses et
des esprits tordus des politiciens, il convient de rappeler que la
gestion d’une nation doit toujours se porter sur les actions, l’équilibre, le
développement de ses rapports internes ou externes de sa société. Correctement
pratiquée, la politique doit s’exercer pour tout ce qui a trait à une somme
d'individualités comptables et identifiées. Son principal exercice demeure une
gestion théorique la plus équilibrée qui soit de la cité, en tenant compte des
impondérables conflits, cataclysmes naturels ou technologiques, famines endémiques
et autres fléaux imprévisibles. La politique est un exercice à haut risque.
La deuxième déficience
du profilage humain depuis Caïn fut l’esprit de corruption, des mœurs et de
l’intellect, qu’il soit laïc ou clérical. Dans le défunt XXème siècle, nous assistâmes
à la chute vertigineuse de tous repères éthiques et moraux. Les silences plombés qui prévalaient sous
Vichy, révélèrent qu’une haine profonde dévorait l’esprit des élites intellectuelles
franco-allemande… De nos jours, beaucoup d’intellectuels, universitaires,
écrivains, chroniqueurs, lauréats de Prix Nobel et journalistes continuent de
cautionner les maux protéiformes de la planète. La langue (le verbe) a le pouvoir
de la vie et de la mort (Bible et Torah). Que nul n’oublie jamais à quel point
les intellectuels occidentaux sont entachés. Ils ont du sang juif, tziganes et autres
identités humaines inscrit dans leurs mains et de leurs écrits. A priori, il
semblerait que l’esprit de la corruption soit nécessaire pour conquérir, garder
ou se maintenir au pouvoir. Or, les textes anciens nous rappellent que le
pouvoir corrompt qui que ce soit, même des hommes d’exception. Se livrant à
leur nature de n’écouter que le doute mensonger qui les habite :
« Dieu a-t-il dit ? », les hommes de pouvoir sont donc amenés à contester
le Créateur et sa Parole.
Nos sociétés
empiriques sont toutes empreintes d’un esprit de corruption ruisselant naturellement
du haut des pyramides sociétales vers les petites gens d’en bas. Parfois un
homme-roi, Chef d’Etat ou de gouvernement s’insurge contre lui-même et les mœurs
qui l’environnent. Dans un sursaut de lucidité contre l’odeur du mensonge qui
l’infecte, il se dresse en se disant : J’agirai désormais en droiture de
cœur contre tout germe corrupteur, non par ma seule conscience, génétiquement
entachée, mais avec la force de mon intelligence et de ma volonté. Las, pour
quelle raison agiraient-ils contre leur nature contaminée ? Seule une
« nouvelle naissance » y parviendrait. Or celle-ci procède de Dieu.
La troisième
déficience à considérer serait celle du pouvoir de l’argent. Il est reconnu,
par l’Histoire que celui qui est amoureux de son coffre-fort, découvre un jour
ou l’autre l’abyssale insatisfaction occasionnée par l’amas de ses biens. Il
sait qu’il ne sera jamais aimé en retour par l’affection sincère et la loyauté de
ses proches. A contrario, celui qui, s’étant enrichi par ses talents et ses
efforts méritoires, offrirait ses biens et son savoir à des œuvres d’édification
et de compassion pour le plus grand nombre, les consacrerait comme une offrande
agréée par l’Eternel. Il réintègrerait, peut-être à son insu, alors la lignée
de l’esprit d’Abel.
Homme de foi
ou incroyant, la seule attitude estimable d’un homme d’aujourd’hui consiste à
faire face aux mensonges, à la désinformation, aux propagandes idéologiques,
aux intimidations sur sa vie, au chantage à la répudiation des siens, aux
calomnies médiatiques et aux atteintes à son honneur. L’Eternel exhorte chacun de
nous à celle d’un combat frontal : vérité contre mensonges, intégrité
contre cupidité, courage contre lâcheté et plus encore, dénoncer le fléau de
l’indifférence et de la passivité. L’Eternel Je Suis sera toujours aux côtés de
ces hommes-là.
Après
avoir examiné les affects meurtriers, l’inclination à corrompre et celle de
l’appât du gain, cette réflexion aborde une autre défaillance des fils de
Caïn, sommés de combattre pour leur survie anté et post diluvienne parmi des
populations archaïques, selon la bible. Elle se définit par la ruse du chasseur
et le goût du secret pour acquérir et centraliser du pouvoir sur des tribus
humaines croissantes en nombre. Outre les Chefs d’Etats, de
Gouvernements et des Ministres des Armées de nombreux pays démocratiques
occidentaux, cette réflexion s’adresse également aux Directeurs, Patrons et
Agents des Services Secrets des 193 nations onusiennes. Par les
textes des patriarches hébreux, nous savons qu’il n’y a rien de secret qui ne
doivent être connu et c’est heureux, car innombrables sont les conséquences
dévastatrices qui en découlent.
Depuis
les premiers combats des fils de Caïn, les guerres feutrées que se livrent
continûment les armées de l’ombre, avec leurs dizaines de milliers de
fonctionnaires et d’agents de terrains se prévalant d’être couverts par le
sceau du secret, sont continues. Ces compagnies et groupes d’intervention opérationnelles
: espionnage, infiltration, extraction d’agents, kidnapping d’opposants, intoxication,
missions de tueurs effaceurs d’existences, etc. Tous sont sélectionnés et entraînés
à être des armes de guerre redoutables, programmées à d’infinies malignités et
dénuées d’état d’âme. Méconnues du public, ils forment les colonnes vertébrales
invisibles des Pouvoirs en place. Ils sont la trame discrète de services-actions
généralement inavouables. Objets de puissance et d’absolution politique, leurs
actions d’ingérences préventives et sécuritaire, impliquent toujours la
déstructuration psychologique de leurs victimes. En quelque sorte, ils
constituent l’armature cachée de la gouvernance des Etats. Sans leurs œuvres inavouables,
point de puissance !
Maudit soit celui qui frappe en secret ! Nous
informe le psalmiste. Cette parole ne se trouve pas dans l’informelle
déontologie des Services Spéciaux dont les bureaux et officines, nichés à l’écart ou dans les sous-sols des Etats, sont généralement connus sous la
modeste appellation de Services de Renseignement
Quel humaniste,
philosophe ou historien pourrait rendre compte en vérité du nombre
d’interrogatoires, de tortures effroyablement variées et de crimes abominables
qui s’y commettent depuis des siècles, jours et nuits, encore et toujours, sous
prétextes de sacro-saintes raisons et secrets d’Etats ? Livres, films,
vidéos et séries TV ayant traits au monde de l’ombre ont pour objet de
distraire et de banaliser l’inhumanité des pratiques de cette engeance
professionnelle, parfois héroïsée par des stars. N’avons-nous pas le devoir de
savoir puis d’informer les innombrables victimes potentielles (que quiconque
peut devenir), sur l’extrémisme silencieux, les attributs et les capacités de
nuisances des pouvoirs occultes du Renseignement ? Cautionnés et agréés
par leurs ministres de l’Intérieur ou des Affaires Etrangères, tous roués
dialecticiens inférant sans sourciller qu’il y ait parfois d’inéluctables dommages
collatéraux. Une formule aussi fourbe que celle de Dieu reconnaîtra les
siens. A ma connaissance, le seul homme spirituel agissant
en secret sans être désavoué par l’Eternel fut Joseph d’Arimathée, homme juste
et courageux qui, dans un contexte d’agitation politique due à l’occupation
romaine, était disciple de Jésus en secret (Jean 19.38). Il serait le modèle à
suivre pour des millions de disciples contemporains particulièrement menacés en
pays musulmans et autres despotismes idéologiques.
La déstructuration méthodique du Droit International, les
fadaises de non ingérence, les conventions Genevoises, les fallacieuses
autodétermination des peuples, l’Eurabia islamique, les dérégulations
financières et commerciales, les propagandes d'intoxication des idées, les
banalisations de la torture, les mise en place de régimes policiers, les lois
d'exception, la surveillance numérique, etc., sont déjà les modus vivendi des
régimes de demain. Toujours plus restrictifs, toujours plus féroces. Par
ailleurs, la peur du terrorisme mondial, instauré depuis le 11 septembre 2001,
ouvrit une voix royale à l'accoutumance de lois liberticides, à l’implication
des armées dans le maintien de l'ordre civil ; à l’état d’urgence aux
attentats majeurs ; à la déstabilisation de régimes existants par des
insurrections et des révolutions orientales folkloriques bien que sanglantes. Elles
sont stratégiquement préparées, accompagnées de propagandes violentes, jusqu’à
ce que s’effondrent les gouvernements mous et collaborateurs de l’Occident. Tous
ces évènements orchestrés dans l’ombre conduisent à une rupture inéluctable de
l’équilibre géopolitique et économique du monde actuel. Préparé depuis le
dernier centenaire, planifié par d’éminents stratèges d’un chaos préliminaire,
l'établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, du genre One World Government, se
met en place. Serait-il l’ultime projet d’un messianisme laïc fondé sur le
rationalisme dominateur de la pensée de Caïn ? Il se heurtera de plein
fouet à d’autres visions eschatologiques.
Pour
la recherche égoïste du profit individuel et sociétal, le capitalisme libéral
est, par achèvement des anciens privilèges, un propagateur idéal pour une
humanité devenue productrice et consommatrice. La morale économique des
dirigeants a capitulé devant la loi du marché et la disparition des nations
prochaines. En attendant, il ne reste pour perspective de fin de partie qu’une
sorte de libéralisme économico-politique à dents de requins, prélude à
l’apparition de l’homme fort d’une gouvernance mondiale. Dans notre époque de grands troubles et de confusions géopolitiques, face
à cette réorganisation d’un nouvel agencement planétaire, le seul honneur, la
seule dignité, le seul patriotisme d’un homme juste de notre temps consiste à
affronter les mensonges d’Etats, la désinformation des médias, les propagandes
idéologiques, les intimidations, le chantage et les menaces sur la vie. En
fait, il s’agit d’un combat frontal sans merci : vérité contre menterie officielle
et délation ; éthique et intégrité contre cupidité et domination ;
courage contre laxisme et lâcheté et enfin, contre l’indifférence et la
passivité ! Ce combat doit être
culturel, politique, militaire, et spirituel pour ceux qui en ont conscience
dans leur esprit.
Par sa transcendance,
l’aune du seul critère de vérité estimable se trouve dans Genèse 12:3 : « Je bénirai ceux qui te
béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ». Cette parole humiliante
pour les puissants concerne un minuscule pays providentiellement rétabli et
restauré après 2000 ans d’errance et de persécutions : Israël. Il y a donc
bénédiction pour les nations qui le respecteraient et malédiction pour les
autres… Il est vrai que ceux qui ont
déjà éjecté l’Eternel Créateur de leurs pensées, rejettent d’autant plus la
renaissance de ce territoire par lequel Il s’est révélé au monde par ses porte-paroles
prophètes. Aussi, les puissants contestent-ils agressivement ce morceau de
terre et de même contestent-ils le nom d’Israël (même les chrétiens
traditionnels s’en sont accaparés en s’affublant de Nouvel Israël). Plus que la notion morale de Bien et de mal, de vrai
et de faux, de juste et d’injuste, il fallait ce singulier étalon de mesure
pour être perçu en toutes langues et cultures. Celui de bénédiction ou de
malédiction semble ad hoc pour les nations et leurs sujets. D’où jalousie et
déchaînement de haine à l’encontre de la renaissance de l’ancestrale terre
israélienne et du microcosme international que représente sa population
hébraïco-juive. Il est clair que nous sommes parvenus à une époque tellement
troublée que nous devons prendre position par rapport à cette question : bénédiction
ou malédiction ? Il est impératif de nous situer personnellement selon
cette injonction biblique radicale.
Israël…
personne ne reste indifférent à ce nom : les hommes des nations prennent
des positions pour ou contre son existence, c’est-à-dire pour ou contre les promesses
que le créateur du monde veut réaliser à son égard. Concernant le peuple hébreu
d’hier comme les juifs d’aujourd’hui, rien de ce qui leur arrive n’est
insignifiant. C’est la raison profonde pour laquelle des hommes de bonne
volonté, appelés à devenir des justes, se sont levés par le passé et se lèvent
toujours plus nombreux de nos jours, pour la justice et la lumière de cette
vérité. Ce pays minuscule est plus que jamais menacé à l’échelle de l’alter
mondialisme et de son gauchisme inadapté qui subsiste. Néanmoins, il faut
reconnaître que l’évolution de la politique israélienne, par sa gouvernance par
trop démocratique, n’est pas sans défaut ni fautes de jugements. Israël n’est
pas en phase avec ce que furent les anciennes ripostes, du temps des
patriarches et des prophètes hébreux. Trop d’accommodements, de complaisances
et de singeries de la danse vicieuse des nations politico-onusiennes ; trop de
compromissions par son vouloir d’être un chantre en démocratie ; trop de
tolérance laxiste et d’arrangements à l’égard de sa cinquième colonne
intérieure (hostilité arabe, gauchistes et antisionistes de tous poils) ;
manque de vision générale sur son avenir (en défaut de Thora) ; de scénarios
d’anticipations géostratégiques, etc. Hors contexte d’époque et de mœurs, sans
pour autant les cautionner (quoique ?), il conviendrait à ses guides
politico-militaires de réexaminer les exhortations du Seigneur des armées
d’Israël en temps de guerre. Or, Israël est en guerre.
Les prophètes hébreux rappelleraient aux dirigeants de jadis
comme aux généraux de Tsahal et du Mossad d’aujourd’hui une lapidaire
exhortation à l’intransigeance : Tu fondras comme l’éclair sur tous les peuples qui
t’agressent. Tes yeux seront sans pitié pour eux ; tu n’écouteras point
leurs stratèges politiciens, leurs énièmes plans de trêves mahométanes, leurs
pseudo paix de papier d’Oslo, de Genève, de New York, de Paris ou de Washington,
de l’Union Européenne, de l’ONU ou du Vatican ; ce serait un piège pour
toi car ce ne sont que machiavéliques sables mouvants de propagandes intéressées. Peut-être diras-tu en ton cœur, ces
peuples et leurs armées coalisées sont cent fois plus nombreux que moi. Comment
parviendrai-je à leur résister, à les contrer et les combattre ? Ne les
crains pas, souviens toi de ce que je fis à pharaon et à toute l’Egypte, évoque
les grandes épreuves subies par ton peuple et des hauts faits surnaturels que tes
yeux ont vus, miracles et prodiges à main forte et bras étendu par lesquels,
moi le Seigneur ton Dieu t’a délivré. Ainsi ferais-je encore à tous les peuples
que tu pourrais craindre. Deut. 7-16/19 (texte paraphrasé).
Pour ceux qui sont en alarme, étant donné l’ampleur
et la force des torrents de mensonges qui déferlent dans le concert des nations
à propos de Palestinisme, d’éradication d’Israël, de jihad planétaire et de
crise mondiale… propice au réaménagement du monde, ils doivent revoir leur
entendement de l’actualité, déguiser leur esprit à la résistance et, comme
l’Ecriture les enjoint, sans hésitation ni débat d’âme, se revêtir de toutes
les armes de l’esprit, s’engager corps et âme dans le combat, sachant
intimement qu’ayant tout sous son contrôle, le Seigneur des Armées les couvre
de sa main. C’est pourquoi il convient d’être au clair sur l’importance de
l’enjeu des batailles à livrer, d’anticiper les risques et leurs conséquences.
Notre attitude, notre détermination et l’évidence de nos convictions actées,
constitueront un témoignage à même de galvaniser d’autres frères d’armes et
d’esprit à nous rejoindre.
Les fronts sont nombreux : l’universalité du
mensonge, les trahisons, les pièges et les menaces multiples. Dans la pratique
de l’action de résistance, l’Histoire et la mémoire de nos aïeux nous
rappellent que l’Eternel ne jette pas ses fils au feu des combats sans avoir
été préalablement entraînés, sans avoir constaté par eux-mêmes le recours à sa
force. Le salut vient des juifs ! Jean (4 :22)
nous le rappelle sans détour. Quelle terrible ulcération cette parole doit-elle
produire sur la peau et les neurones des anti-juifs et des antisionistes et des
assoiffés de pouvoir. Bien que n’étant pas juif moi-même, par la grâce de
l’Eternel, je m’honore d’être Pasteur sioniste et, pour l’amour de Sion, je ne
me tairai point.
© François Celier, Pasteur et écrivain pour LibertyVox

Abel et Caïn. Cathédrale de Salerne. Source
image : http://www.artbible.net
Notes :
(1). Allemagne (Christian Wulff et Angela Merkel) ; Bulgarie (Gueorgui Parvanov et Boïko Borisov) ; Autriche (Heinz Fisher et Werner
Faymann) ; Belgique, (Roi Albert II
et Yves Leterme) ;
Chypre (Dimitris Khristofias) ; Danemark (Reine Margrethe II et Lars Lokke Rasmussen) ; Espagne
(Roi Juan Carlos Ier et José Luis Rodriguez Zapatero) ;
Estonie (Toomas Hendrik Ilves et Andrus Ansip) ; Finlande (Tarja
Halonen et Mari Kiviniem) ; France (Nicolas
Sarkozy et François Fillon) ; Grèce (Karolos
Papoulias et Georgios Papandréou) ; Hongrie
(Pal Schmitt et Victor Orban) ; Irlande (Mary
McAleese et Brian Cowen) ; Italie (Giorgio
Napolitano et Silvio Berlusconi) ; Lettonie
(Valdis Zatlers et Valdis
Dombrovskis) ; Lituanie (Dalia Grybauskaité et Andrius
Kubilius) ; Luxembourg (Grand-Duc Henri et Jean-Claude
Junker) ; Malte (George
Abela et Lawrence Gonzi) ;
Pays-Bas (Reine Beatrix et Mark Rutte) ; Pologne (Bronislaw
komorowski et Donald Tusk) ; Portugal (Anibal
Cavaco Silva et José Socrates) ; République
tchèque (Vaclav Klaus et Petr Necas) ; Roumanie (Traian
Basescu et Elmil Boc) ;
Royaume-Uni ( Reine Elisabeth II
et David Cameron) ; Slovaquie ( Ivan Gasparovic et Iveta Radicova) ; Slovénie (Danilo Türk et Borut Pahor) ; Suède (Roi Carl XVI Gustaf et Fredrik Reinfeldt) ; SuisseAzerbaijan
(Micheline Calmy-Rey) et du Vatican (Benoît XVI, Pape).
(2) « Vous avez pour père le diable, et vous ne voulez accomplir les
désir de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient
pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère
le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père
du mensonge » Jean 8, 44
(3) Maktab al-Khadamät (Afghanistan) ; South Africa
Secret Service (Afrique du Sud. SASS) ; Département du Renseignement et de
la Sécurité (Algérie. DRS) ; Bundesnachrichtendienst (Allemagne.
BND) ; Al
Mukhabarat Al A’amah (Arabie Saoudite) ; Australian Secret Intelligence
Service. ASIS (Australie) ; Service Général de Renseignement et de la Sécurité (Belgique. SGRS) ; Agência Brasileira de Inteligência. ABIN
(Brésil) ;
Direction Générale de la Recherche Extérieure (Cameroun DGRE) ;
Service Canadien du Renseignement de Sécurité (Canada. SCRS) ;
Guojia Anaquanb (Chine) ; Departamento Administrativo de Seguridad (Colombie.
DAS). Agence nationale de renseignements (Rép.Dém. du Congo. ANR) ; National Intelligence Service (Corée du
Sud. NIS) ; Departemento de Securidad del Estado ( Cuba. DES) ; Direction National
de Inteligencia ( République Dominicaine. DNI) ; Gihaz al-Mukhabarat al-Amma (Egypte. DRG) ;
Centro National de Inteligencia (Espagne. CNI) ; Central Bureau of Investigation (Etats-Unis. CIA) et Federal Bureau of
Investigation (FBI) ; Direction Générale de la Sécurité Extérieure
(France. DGSE) ; Central
Intelligence Agency (Inde. CBI) ; Amniat-e Vezarat-e-Ettelaat Va (Iran.
VEVAK) ; espionnage
hors frontières d'Israël, Mossad ; contre-espionnage intérieur (Shin Beth,
ou Shabak) ; Naicho
(Japon) ; Dairat al-Mukhabarat al-Ammah (Jordanie) ; Jamahiriya el-Mukhabarat
(Libye) ;
Central Intelligence Service. CIS (Madagascar) ; Renseignements Généraux Marocains. RG
(Maroc) ; Forsvarets Etterretningstjenest. FE (Norvège) ;
Inter-Services Intelligence. ISI (Pakistant) ; Inlichtingendienst
Buitenland. IDB ( Pays-Bas) ; Agencia Wywiadu. AW (Pologne) ;
Security Service. MI5, SIS ou MI6. (Royaume-Uni) ; Federalnaïa Service fédéral de sécurité, Sloujba Bezopasnosti.
FSB et MVD. (Russie) ; Militära Underrättelse – och Säkerhetsten. MUST.
(Suède) ; Nachrichtendienst des
Bundes. NDB. (Suisse) ; Idarat Al-Mukhabarat Al-Ama. (Syrie) ; Millî
Istihbarat Teskilati. MILT. Turquie ; Ex-La Sapinière (Vatican) ;
Direccion de los Servicios de Intelingencia y Prevencion. DISIP (Venezuela). Liste partielle et non
exhaustive, naturellement.
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