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Agressions racistes à Créteil et dans mille autres villes de France |
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La haine raciale contre des Français qui n’ont pas l’honneur d’appartenir à la race des conquérants. |
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Un vieil
homme agressé chez lui parce qu’il est juif ou supposé l’être ou accusé de
l’être ; deux jeunes gens, agressés chez eux, dépouillés de leurs quelques
biens, parce qu’ils sont juifs ou supposés l’être ou accusés de l’être ;
une jeune femme violée chez elle, parce qu’elle est juive ou supposée l’être ou
accusée de l’être. Tout cela se passe à Créteil, chef-lieu du département du
Val-de-Marne ou 9-4, comme il faut dire désormais. La ville, qui compte près de
cent mille habitants, est socialo. Elle était socialo jadis et naguère, elle
sera socialo demain et après-demain. Les trois cantons dont elle est composée
sont socialos ou apparentés. Il n’y a que le Conseil Général du 9-4 qui ne soit
pas majoritairement socialo : il est coco depuis toujours. C’est donc dans
une ville socialo qui pense socialo, qui vote socialo, qui dépense socialo, qui
parle socialo, qui organise socialo, que des juifs sont agressés parce qu’ils
sont juifs, comme si en France désormais, dans une ville socialo qui a voté
pour Hollande à 70 ou 80 %, être juif était un crime, comme ça l’était dans le
troisième Reich, et que ce crime fût punissable. Tout cela se passe en France
et non en Pologne ou en Egypte, chez les socialos et non chez les fachos, en
2014, et non en 1944.
Les faits
méritent que l’on s’y attarde, et plus encore que les faits les réactions aux
faits. Le 19 mars 2012, à peine connus les assassinats d’enfants juifs à
Toulouse, autre ville alors socialo et chef-lieu d’un département socialo
jusqu’à la plante des pieds, le candidat Hollande avait montré d’un doigt
accusateur l’Elysée, dont le locataire d’alors aurait, selon lui, armé le
tueur. Deux ans et demi plus tard, il s’est bien gardé de montrer de son doigt
accusateur ce même Elysée : c’eût été inutilement suicidaire. En 2012, il
n’avait pas attendu trois heures pour réagir à des assassinats racistes ;
en 2014, il lui a fallu trois jours pour faire entendre une vague
indignation : « insupportable », qui résonne comme tous les inacceptables ou autres inadmissibles que les socialos
prodiguent dès qu’un fait déplaisant est porté à la connaissance des citoyens,
qui, eux, sont obligés de supporter, d’accepter, d’admettre tout cela, n’ayant
pas des armées de gardes du corps pour les protéger.
Interrogé
par les medias, le vieil homme agressé en octobre a dit, et à juste titre, qu’il
avait été victime d’une agression raciste. Le mot racisme a été prononcé, mais il ne l’a été qu’une fois et
depuis ce jour, il est tabou ou banni, ce qui revient au même. Les médias
parlent jusqu’à plus soif d’antisémitisme ; les socialos aussi. Le
procureur aurait ajouté aux crimes une circonstance aggravante : ces
Français ont été agressés à cause de leur religion. Oui, de la religion ?
Etre juif, pour la justice, mais en France seulement, et pour la justice
socialote, c’est une religion. Entre 1933 et 1945, une guerre de religion
aurait opposé les Allemands aux Juifs. Voilà un bel exemple de négationnisme.
Ce pour quoi ces Français ont été agressés dans une ville socialo, ce n’est pas
la religion, mais la « race » ou l’origine ou l’appartenance à un
peuple. Ces agressions sont des agressions racistes. La ville socialote (ou socialope ?) de Créteil est une
ville où ont lieu des agressions racistes, inspirées par la seule haine raciale
contre des Français qui n’ont pas l’honneur d’appartenir à la race des
conquérants qui brandissent l’oriflamme de l’islam et de Mahomet.
Mahomet ?
Comme chacun l’a remarqué, les médias en disent le moins possible sur les
racistes. Leur identité a été soigneusement dissimulée : ils n’ont pas de
nom, pas de prénom, pas de visage, pas d’existence sociale, pas de parents, pas
d’adresse. Ce sont des ombres ou des zombies – ou plus exactement des idées ou
des abstractions ou des essences. La France est devenue la caverne de Platon,
au fond de laquelle sont projetées non pas des silhouettes humaines, mais de
grands mots abstraits, des notions, des concepts. La France n’est plus sur
terre, mais elle vogue dans le ciel des idées. Les criminels nommés sont antisémitisme
et société française. L’antisémitisme ne présente que des avantages.
L’antisémitisme, c’est la France ou la « société française », celle
qui serait antisémite par essence et que l’on peut stigmatiser jusqu’à plus
soif. A Créteil, ville socialote, mais aussi française (pour combien de
temps ?), les antiracistes, les assoces lucratives sans autre but que le
lucre, les médias, les politiciens ont trouvé le coupable : c’est la
France ! L’immonde MRAP a même accusé la police : c’est elle qui
désignerait les juifs à la hargne des hordes racistes. Voilà la grosse fable
dont se repaissent médias et politiciens depuis plusieurs jours.
Dans leur
malheur, les Juifs de France ont une petite chance, que n’ont pas les autres victimes
des mêmes agressions racistes. Ils peuvent se réfugier en Israël. Un billet
d’avion, aller simple, sans retour, et ils se trouvent enfin en sécurité dans
un pays qui les reconnaîtra immédiatement pour siens. Les autres Français, parce
qu’ils sont « de souche », n’ont pas d’autre solution que de trouver
un refuge précaire et provisoire dans la campagne profonde, le plus loin
possible des populations racistes qui les agressent, ou bien de demander
l’asile politique à l’Islande ou au Costa Rica, seuls pays où les autochtones
n’ont pas à craindre les agressions racistes.
© Baro
Tinderbert pour LibertyVox  Haine anti-française
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