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Salopards de journaleux |
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Alors que les cadavres, victimes des tueurs musulmans, s’empilent, la « journalisterie » veille « à ce que vous ne sachiez rien, ne compreniez rien, ne fassiez rien, sinon de présenter votre cou aux égorgeurs. ». Par Moulin. |
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Les assassinats de Nice,
Lagrand (Hautes-Alpes), Saint-Etienne du Rouvray ont donné lieu, comme ceux de
Charlie, du Bataclan, des terrasses, de Villejuif, de Bruxelles, du TGV, de
l'Isère, etc., de la part de la journalisterie, à savoir les journaleux, les cultureux,
les médieux et leurs larbins de la politique, à un feu d'artifice de
socialoperies, plus grosses les unes que les autres, chacun enchérissant sur
son voisin, camarade ou "adversaire". La seule chose que l'on puisse en
dire est qu'elles sont à la hauteur des crimes de tous les Mohammed de Paris,
de Bruxelles, du TGV, de Villejuif, de Nice, de Lagrand, de Saint-Etienne du
Rouvray, etc. que ces Mohammed se nomment Bouhlel, Boufarkous, Abdeslam,
Kouachi, Coulibaly, Bou Tayeb...
Pour ce qui est du tueur de
Nice et de celui de Lagrand, pendant deux ou trois jours, aucun journaliste n'a
osé prononcer ou écrire leur nom, et encore moins leur prénom, à savoir
Mohammed, le nom du "prophète" chéri, bien aimé, adulé de l'Islam (Allah
yebarek fih), pourtant connus, selon toute apparence, de tous les
professionnels de la profession. En revanche, l'appartenance au tueur de Nice a
été immédiatement révélée : il est ou il serait, je cite, "franco-tunisien"
- pas tuniso-français, non, mais franco-tunisien. Pourquoi faut-il que, dans
cette dénomination de journaleux, le seul mot raccourci soit
"français", abrégé en "franco", et que le seul mot entier
soit "tunisien", comme s'il était halal d'écorner le premier et haram
de toucher au second - tabou ou sacré par décision allahique.
Or, de français, ce tueur
n'a rien, ni le nom, ni le lieu de naissance, ni la culture, ni la nationalité.
Il est franco peut-être, mais au sens où, franco et même tout franco, il a
propulsé son camion à grande vitesse dans la foule. Il est tunisien, et
uniquement tunisien : c'est un bon et vrai Tunisien, comme le sont ceux
qui sont partis en Syrie ou ailleurs (à Nice, par exemple) égorger des
autochtones ou comme ceux qui ont mitraillé les étrangers au musée ou sur les
plages de Tunis. Les Tunisiens sont des tueurs d'infidèles ou de mécréants : racistes
de pied en cap et jusqu'à la bosse du front, celle qui distingue les vrais
croyants des tièdes. Le tueur de Lagrand a été présenté de même comme un
franco-marocain : marocain, oui ; français, non. Les salauds de journaleux ne
se contentent pas de mentir, de déformer les faits, de cacher la réalité, de
tout maquiller : cela ne leur suffit pas. Il faut aussi qu'ils crachent sur la
France et salissent les Français en les impliquant, fût-ce verbalement, dans
les crimes de masse commis par les Tunisiens, les Marocains, les Algériens et
tutti quanti.
Autre socialoperie : ces
tueurs ne seraient pas musulmans, évidemment. Ils ont beau s'appeler Mohammed,
ils ne vont pas à la mosquée ou ils ne vont plus à la mosquée (pas de panique :
depuis avril 2016 pour celui des Hautes-Alpes) ; ils ne jeûnent pas pendant le
mois sacré du ramadan ; l'un d'eux boirait de l'alcool et, haram, mangerait du
kharouf. Grosses blagues que tout cela. Qu'en sait la journalisterie ?
Rien évidemment. Quelques témoignages sont rapportés : qui sont les
témoins ? Anonymes et tous musulmans, évidemment. Que savent-ils de ces
Mohammed ? Rien. La journalisterie cherche-t-elle à susurrer que ces deux
Mohammed sont juifs ? Cela l'arrangerait bien. Elle aurait son
coupable : Israël évidemment.
Ces tueurs ne seraient même
pas des "islamistes" ou des soldats du djihad. Personne ne les a vus
porter la khamis ou la barbe ou ils n'auraient pas fait allégeance (du moins
pas dans les formes légales) au Daoula islamiyya fil sham. Certes la femme du
tueur de Lagrand est voilée des pieds à la tête, mais porter un voile, même
intégral, n'a pas plus de signification, selon la journalisterie, que de porter
des lunettes de soleil quand on va à la plage. L'un et l'autre - tous les
autres aussi d'ailleurs, même les tueurs à venir - n'auraient rien à voir avec
l'islam, le Coran, la charia, la loi islamique, Mahomet, etc. : ils seraient tous
fous, détraqués, malades mentaux, fêlés, cinglés, débiles mentaux, retardés,
psychopathes, etc. Ce qui nous est proposé par les journaleux, ce sont des autoportraits
en somme, comme si les journaleux se peignaient eux-mêmes quand ils esquissent
pour les retardés ou nous, les bougnoules (du moins, c'est pour cela qu'ils
nous tiennent), qui les lisons, les écoutons ou les regardons, les portraits
fantasmatiques de ces tueurs.
Troisième socialoperie : les
polémiques. A peine connus les crimes de Nice, les journaleux, tous socialauds
ou socialopards, se sont gaussés de la vidéosurveillance d'Estrosi et d'Estrosi
lui-même, lequel a répliqué dans les media pour détourner sur le pouvoir en
place la colère du peuple, s'attirant, toujours dans les média et sans retard,
les philippiques indignées du pouvoir, etc. Qui a publié le témoignage de la
responsable de la vidéosurveillance ? Le Journal du Dimanche, repaire de
socialauds qui sévissent dans la journalisterie. Ces polémiques ont un but :
détourner l'attention des Français de la réalité de la guerre qui leur est
faite et de l'absence de toute réaction du pouvoir à cette guerre. Les
journaleux ont vite appris quelques éléments de la vie du Tunisien de Nice :
ils auraient pu enquêter sur les circonstances ou les conditions dans
lesquelles, alors qu'il n'avait aucun métier, ni savoir-faire, sinon de baiser comme un bouquin délié, il a pu obtenir
un titre de séjour en France. Qui le lui a fait obtenir ? La Cimade ?
France-Libertés ? La sauce raciste ? La socialoperie ? Quand ces
organisations vont-elles être poursuivies pour complicité de crimes contre
l'humanité ? Il en va de même pour le Mohammed de Lagrand qui a agressé au
couteau des infidèles évidemment, mais ce prétexte suffit à un musulman pour
tuer ou essayer de tuer des fillettes. Comment il a pu s'établir en France
légalement ? Pourquoi, après avoir commis x délits, il n'a pas été renvoyé dans
son beau et riche pays ? Qui a payé son séjour dans un VVF, auquel seuls de rares
Français peuvent accéder ? L'antisémite forcené, communiste de surcroît, qui
gère la ville de Limay, où réside ce Mohammed ? Etc.
Dormez tranquilles, braves
gens, vous ne saurez rien des menaces qui pèsent sur vos vies et sur celles de
vos enfants, la journalisterie est partout : elle veille même à ce que vous ne
sachiez rien, ne compreniez rien, ne fassiez rien, sinon de présenter votre cou
aux égorgeurs.
© Moulin pour LibertyVox
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